vendredi 19 avril 2019

Le plaisir de faire du jet ski

Si vous êtes à la recherche d'une activité à la fois riche en sensations, j'en ai testé une bien fun le week-end dernier, à la mer : une randonnée en jet ski. La force du jet ski, c'est qu'on peut se faire plaisir sans avoir forcément de l'expérience. Apprendre à piloter se fait sans le moindre effort et on jouit immédiatement des sensations. Par contre, il est tout à fait envisageable d'pousser plus loin dans la technique, ça peut demander un peu de travail. Au final, cette expérience est ouverte aux débutants comme aux perfectionnistes. Pour vous donner une idéede comment ça se passe, nous étions six à participer pour cette randonnée insolite. Nous avons enfilé nos combis avant de nous avons rejoint de magnifiques jet skis grimpant à 85 km/h. Notre moniteur nous a montré les consignes de sécurité à respecter. A l'évidence, ça n'avait rien de bien compliqué : en tout et pour tout, une manette au guidon qui permettait d'accélérer et décélérer. Il n'y avait pas de frein... Après ça, nous avons enfin enfourché nos machines et pris la mer. C'était prodigieux : le vent qui fouette le visage, les vagues qui forment le terrain de jeu, l'impression de puissance... C'est vraiment enivrant qu'on se sent en sécurité tout du long. A pleine puissance, le plaisir est tel que je ne pouvais m'empêcher de sourire comme un dément. C'est vraiment un sport épatant, quel que soit le niveau. Ceci dit, ça fatigue. Si j'ai été surpris en découvrant que ce sport est réservée pour les moins de 16 ans, j'ai vite compris pourquoi une fois sur l'eau. Ce n'est pas la conduite, mais en raison de la force physique : la vitesse et le vent requièrent une certaine résistance. Les courbatures sont là pour en témoigner. J'ai été séduit par cette activité pas prise de tête, où le fun est le seul mot d'ordre. Si vous habitez à la mer, je vous recommande chaudement de tenter l'aventure ! Pour plus d'informations, allez sur le site de cette expérience de location de jetski à Monaco et trouvez toutes les infos.

jeudi 18 avril 2019

L’énigme Nancy Pelosi

Pelosi est elle aussi un animal politique. Fine stratège, elle est aussi sans pitié. Cette féministe catholique de Baltimore a senti que Trump lui offrait là une formidable opportunité de voir sa cote de popularité grimper en flèche et de réhabiliter l’image des démocrates auprès des citoyens américains. Alliance qui va lui servir à pilonner la communication de Trump, lui qui est pourtant bien rodé dans ce domaine. Le président est en effet avant tout un homme de télévision. Trump, c’est même une marque qui exaspère, qui choque mais qui surtout se vend. Sa télé-réalité «The apprentice» était suivie chaque semaine par des millions d’Américains. Trump y prononçait devant les caméras de NBC, son fameux: «You’re fired ! », le doigt pointé en direction de la personne désignée. Une violence qui a fait le personnage. Cependant, comme souvent en personal branding, le besoin d’y recourir masque un cruel manque de réelles capacités. Son élection à la présidence n’y changera rien. Alexey Lutsenko (vainqueur de la troisième étape du Tour d'Oman) : « C'était une étape difficile rendue encore plus stressante par le vent de côté, qui a provoqué plusieurs coups de bordure. Dans les 30 derniers kilomètres, mes équipiers ont fait un énorme travail pour me protéger et me maintenir dans les premières places. Je me souvenais bien de cette dernière montée, on était déjà venus là il y a deux ans (victoire de Soren Kragh Andersen). Pour moi, tout s'y est passé parfaitement. Je suis resté dans la roue de Greg Van Avermaet, que j'avais ciblé comme étant le favori de cette étape, et j'ai su placer mon attaque au bon moment. Après, jusqu'au sommet, j'étais à fond. J'ai fait un gros travail avant cette course en altitude, à Tenerife, qui m'a visiblement fait du bien. Deux victoires en deux jours : j'ai fait comme Julian Alaphilippe (vainqueur deux jours de suite à San Juan) ! On verra comment cela se passe pendant l'ascension de Green Mountain, mercredi. C'est une montée très difficile, très sélective. Il va falloir que je sois très fort si je veux garder le maillot de leader.