Parce qu'on ne vit qu'une fois, la semaine dernière, j'ai ajouté une activité insolite à mon carnet de bord : j'ai en effet un baptême de l'air en hélicoptère. Ca s'est passé à Paris, et je dois dire que l'expérience m'a bien plu. Cela faisait déjà un moment que j'y pensais, sans jamais trouver l'occasion de me lancer (c'est fou ce que c'est chronophage, les enfants). Et une fois à bord, j'ai été assez surpris des différences qu'il peut y avoir avec un vol traditionnel en avion.
Tout d'abord, il faut savoir que dans un hélicoptère, on est moins confiné que dans un avion. On doit y mettre sa ceinture de sécurité comme dans une voiture, mais il n’est pas obligatoire de porter un casque. Cela dit, il est quand même préférable de le mettre si l'on veut entendre les conseils du pilote, parce que sinon, il faut sensiblement hausser la voix pour être entendu ! Mais passons au vol proprement dit. Côté sensations, le décollage n'a strictement rien à voir avec celui d'un avion. La machine s’élève en douceur, comme si elle était posée sur un coussin d’air. Puis l’hélicoptère fonce, museau en avant, et commence sa promenade. L'impression est, je dois dire, assez extraordinaire. Ça ne secoue pas du tout. Il n'y a que dans les changements de cap (quand l’hélico n’est plus parallèle au sol) que ça peut être désagréable. Mais le reste du temps, on a un peu l'impression de voler à bord d'un tapis magique. Mais la plus grande différence avec un avion, à mon sens, ça reste clairement la carlingue : il y a des vitres partout. Le cockpit ressemble en fait à un assemblage de vitres, ce qui permet d'avoir une vue panoramique à chaque instant. Le paysage s'étend donc à perte de vue, où que l'on regarde. Et ça, c'est vraiment ce qui rend l'expérience magique. Cela dit, si vous faites un jour un tour en hélicoptère, voici un conseil : regardez avec vos yeux plutôt que de perdre du temps à prendre des photos. Parce que les photos, en fin de compte, ne rendront jamais compte de la beauté du paysage.
Si vous souhaitez vous aussi tenter un tel baptême, je vous mets en lien le site où j'ai trouvé mon vol. Encore plus d'information sur cette expérience de vol en hélicoptère en allant sur le site internet de l'organisateur.
mercredi 20 décembre 2017
samedi 16 décembre 2017
Stratégie de prolongation de la durée de vie des centrales nucléaires
D’une manière générale, la pression croissante des producteurs nucléaires en faveur de stratégies PLEX résulte de plusieurs facteurs : • la faible matérialisation de la supposée « renaissance » du nucléaire, qui se traduit hormis peut-être en Asie par un nombre clairement insuffisant de nouvelles constructions de réacteurs pour renouveller le parc, et renforce dès lors l’incitation à investir dans la prolongation du parc existant pour maintenir la capacité installée ; • le vieillissement global du parc de réacteurs, qui les rapproche de l’échéance de décisions sur la prolongation ou non de leur durée de vie. Le parc mondial a en fait franchi en 2013 le point de bascule symbolique où plus de la moitié des réacteurs en exploitation ont dépassé le cap des 30 ans de fonctionnement1 ; • l’incitation économique à investir dans la poursuite d’exploitation d’actifs qui sont déjà largement, voire intégralement amortis. Même si ce calcul dépend à la fois des montants à investir pour prolonger la durée de vie et des conditions du marché, cet investissement se présente a priori comme l’une des options les plus rentables à la disposition des exploitants, par rapport aux investissements dans différents nouveaux moyens de production. Certains vont jusqu’à voir dans la poursuite de l’exploitation de réacteurs amortis une rente dont ils appellent à ne pas se priver. Cette stratégie se heurte toutefois à d’importantes réserves. Une partie d’entre elles tournent autour de la stratégie de transition énergétique. À l’argument selon lequel cette prolongation génèrerait une rente précieuse pour financer l’évolution du système énergétique, et notamment le développement des énergies renouvelables, d’autres acteurs opposent l’idée que cet effet d’opportunité crée au contraire, en termes de bilan énergétique et de rentabilité, un frein voire un effet d’éviction vis-à-vis du développement d’alternatives. Cette discussion, bien qu’elle soit importante, n’est pas abordée dans le cadre de la présente étude.
jeudi 23 novembre 2017
Voler, c'est bien
I did it ! Le mois dernier, au terme de plusieurs mois à reporter sans cesse le moment, j'ai enfin fini par expérimenter mon vol en avion de chasse. Une aventure délirante. Je suis parvenu vers midi à l'aérodrome de Saint-Jacques-de-la-Lande (Rennes) où j'ai été réceptionné par l'instructeur, qui a près de 6000h de vol. Les autres sont arrivés quelques minutes plus tard : nous étions 3 à nous envoler ce jour-là. Nous avons suivi le briefing présentant l'expérience, les particularités de notre avion, les consignes de sécurité. Puis nous avons déterminé notre ordre de vol : ouf, j'allais passer en dernière position ! J'ai donc pu observer à loisir mes prédécesseurs pour voir leurs réactions à la sortie de l'appareil. L'un en est revenu souriant, l'autre le teint verdâtre. Apparemment, ce n'était pas pour tous les estomacs.
Avant que le second ne revienne, j'étais parti enfiler ma tenue de pilote. J'ai rejoint l'avion aux côtés du pilote. Premier sentiment : le Fouga Magister n'est pas aussi excitant qu'un authentique avion de combat. Et sa silhouette annonce qu'il n'est pas de première jeunesse (sa création remonte au début des années 1950, après tout). Cependant j'avais relevé assez de choses sur celui-ci pour garder à l'esprit que c'est un appareil d'entraînement, par conséquent adroit et qui offre de bonnes sensations une fois en vol. Je me suis hissé dans le cockpit et l'équipe m'a harnaché à mon siège, en me délivrant ses dernières règles. Finalement la verrière coulissante s'est fermée et l'avion s'est dirigé sur la piste de décollage. Après tous ces mois d'attente, j'y étais : je réalisais un vieux rêve...
L'envol s'est produit avec élégance. C'était bien moins brutal que ce que j'avais prévu. Nous avons attaqué par un vol d'observation. La verrière me donnait une vue imprenable sur le sol alentour. Un vol à basse altitude m'a permis de profiter ensuite de la sensation de vitesse. Grisant. Puis, quelques minutes plus tard, la phase tant attendue : le moment des acrobaties.
Le premier break a été un choc. J'ai senti que mes épaules étaient poussées contre mon siège. Une autre figure a instantanément enchaîné avec celle-ci. Pas le temps de retrouver ses esprits. Après quelques virages accompagnés de vrilles, je me suis senti perdre conscience et j'ai dû me contracter autant que possible pour prévenir l'arrivée du blackout. Une expérience impressionnante, et qui ne vous épargne pas ! Je suis sorti légèrement tremblant de l'appareil, mais je ne regrette en aucun cas ! En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste réputé de ce baptême en avion de chasse.
mercredi 22 novembre 2017
La Suisse et la « Lex Duvalier »
L’affaire Duvalier démarra en 1986 – au lendemain de la chute de l’ancien dictateur Haïtien – lorsque le nouveau régime en place adressa à la Suisse une demande d’entraide en vue d’identifier et de bloquer les avoirs de Jean-Claude Duvalier et de son entourage. À la suite des coups d’État qui s’étaient succédé en Haïti, les autorités haïtiennes n’avaient toutefois pas été en mesure d’apporter à la Suisse les éléments de preuve au soutien de leur demande, ce qui avait conduit l’Office fédéral de la justice à décider, le 15 mai 2002, à mettre fin à l’entraide. Cependant , afin d’éviter que les avoirs suisses des Duvalier – d’un montant de 7,6 millions de francs – ne reviennent à la famille de l’ancien dictateur, le gouvernement suisse procéda au blocage des fonds. Cette mesure politique sera d’ailleurs renouvelée à plusieurs reprises. Finalement, en décembre 2008, le Conseil fédéral a reconnu la nécessité de légiférer en la matière et chargea le Département fédéral des affaires étrangères d’établir un projet de loi visant à faciliter la restitution des avoirs illicites aux pays spoliés dans le cas des Etats défaillants. C’est dans le contexte que sera adoptée, en 2010 , la “loi fédérale suisse sur la restitution des valeurs patrimoniales d’origine illicite de personnes politiquement exposées”. Cette loi autorise les autorités suisses à confisquer, de manière autonome, des avoirs illicites (i.e. sans attendre un jugement de condamnation dans l’Etat d’origine), dès lors que l’Etat d’origine n’est pas capable de mener à son terme une procédure d’entraide judiciaire en raison de la défaillance de ses institutions. Sur cette base, le Tribunal Fédéral a ordonné la confiscation des avoirs de Duvalier, en décembre 2013, ouvrant ainsi la voie pour leur restitution au profit du peuple Haïtien. Cette loi (également connu sous le nom de « Lex Duvalier ») sera par la suite enrichie, afin d’appréhender d’autres situations de défaillance, telles que celles rencontrées dans le cadre du printemps arabe. Au final, en matière de grande corruption, les états d’origine n’engagent, le plus souvent, aucune action à des fins de recouvrement (ou bien ne parviennent pas à les mener valablement à leur terme). Aussi, les règles de partage figurant dans notre Code procédure pénale tout autant que les règles de restitution édictées par le CNUCC, n’ont quasiment jamais vocation à s’appliquer, ou bien, s’agissant des règles de partage prévues par notre Code de procédure pénale, lorsque celles-ci s’appliquent, ce n’est très vraisemblablement qu’au profit d’Etats tiers. En d’autres termes, la confiscation des produits de la grande corruption se trouvant en France, emporte, le plus souvent, transfert - le cas échéant total (confiscation autonome) ou partiel - de la propriété au profit de l’Etat français. Or, si l’on conçoit aisément que l’absence de gouvernance, voire l’état de défaillance des Etats d’origine, rendent (légalement) impossible le partage ou la restitution des avoirs illicites à leur profit : en revanche, rien ne justifie que les avoirs ayant fait l’objet d’une décision de confiscation ne soient pas mis au bénéficie des populations victimes, qui sont, rappelons-le, les premières victimes de la grande corruption. Toute autre solution ne peut que constituer une « double peine » ; les populations victimes payant en effet, non seulement pour la corruption de leurs élites dirigeantes, mais qui plus est, pour les dysfonctionnements de leur appareil judiciaire. D’où l’importante question de l’affectation des avoirs.
jeudi 19 octobre 2017
Les MST et la technologie
Information sur les maladies sexuellement transmissibles (MST) Par année aux Pays-Bas, on estime que plus de 100 000 personnes ont une IST. Certaines IST ont de graves conséquences si elles ne sont pas traitées à temps. Heureusement, la plupart des MST sont facilement curables. Les MST sont contagieuses. Vous pouvez avoir une STI sans que vous le remarquiez. De plus, vous pouvez passer une STI (inaperçu). Des exemples de MST comprennent la chlamydia, les verrues génitales, l'herpès génital, la gonorrhée, l'hépatite B et la syphilis, la trichomonase et le VIH, le virus qui cause le sida. Comment l'exécutez-vous? Les MST sont transmises par le sperme, le sang, le liquide vaginal et par contact entre les muqueuses. Des membranes muqueuses se trouvent dans l'anus, le pénis, le vagin et la bouche. La plupart des IST sont encourues par des rapports sexuels non sécurisés. Le sexe dangereux est: Relations sexuelles vagales sans préservatif. Relations sexuelles sans préservatif. Sexe orale (fellation et cunnilingus) sans préservatif ou barrière dentaire. Certaines MST sont également transmissibles par le sang. Ils peuvent résulter d'un tatouage ou d'un piercing non hygiénique. Ou si votre drogue utilise avec des aiguilles, des seringues ou d'autres attributs utilisés par un autre. Le VIH, l'hépatite B et la syphilis peuvent être transmis pendant la grossesse d'une mère à l'autre. Le VIH, l'hépatite B, la syphilis, la chlamydia, l'herpès génital et la gonorrhée peuvent être transmis pendant la naissance, le bébé. Une STI que vous n'obtenez pas en buvant de la tasse d'une autre. Vous ne recevez pas non plus de toux, de piqûres d'insectes ou d'un siège de toilette sale. Dans le pool, vous ne risquez aucun risque. Les symptômes et le traitement SOA donnent aux hommes et aux femmes, en général, aucune plainte. Ou ils sont si vagues que vous ne vous dérangez pas. S'il y a des plaintes impliquent habituellement: Décharge ou du pus du pénis, du vagin ou de l'anus. Chez les femmes, la séparation est souvent plus que d'habitude. La décharge peut être aqueuse, laiteux, jaunâtre ou verdâtre et l'odeur différemment Brûlures, irritations, douleurs pendant ou après la miction ou de petites quantités de miction. Les plaies, les verrues, les plaies sur le pénis, le vagin, l'anus ou la bouche. Démangeaisons dans les cheveux pubiens, le gland, la vulve ou l'anus Glandes gonflées dans l'aine. Douleur dans l'une ou l'autre (par exemple) balle. Douleur abdominale. Douleur pendant les rapports sexuels, ou saignement irrégulier ou anormal, par ex. Après les rapports sexuels ou entre les périodes menstruelles. Ces symptômes peuvent également être des symptômes d'autres maladies. SOA elle-même ne disparaît jamais. Si vous avez eu des rapports sexuels non protégés et que vous pensez avoir une IST, n'hésitez pas à la suivre. Les IST peuvent avoir des conséquences désagréables. Vous serez également contagieux pour les autres, si vous avez une infection à MST. En outre, le risque de contracter le VIH augmente si vous possédez déjà une IST. Par conséquent, il est important que vous vous rendez chez un médecin et que vous laissez les enquêtes. Dire que vous avez eu des rapports sexuels non protégés, le médecin sait qu'il doit vérifier les IST. Plusieurs raisons peuvent être de laisser un test STI: Il se peut que vous ayez eu des rapports sexuels dangereux, et vous craignez que vous soyez sur quelque chose. Même si le préservatif a éclaté pendant le sexe, vous craignez peut-être d'avoir une IST Il se peut que vous soyez alerté par un partenaire ou un ex-partenaire, qui a une IST et qui vous a peut-être été transféré. Les symptômes physiques après les rapports sexuels non protégés peuvent entraîner un test de MST. Les symptômes possibles chez les IST sont plus de décharge du vagin ou du pénis ou d'autres décharges que d'habitude, des cloques, des plaies ou des verrues sur ou autour des organes génitaux, des douleurs musculaires ou des douleurs abdominales, des saignements entre les périodes menstruelles de. Vous avez une relation stable et souhaitez avoir des relations sexuelles sans préservatif. Déterminer d'abord les risques que vous avez courus dans le passé. Pour vous assurer que vous et votre partenaire ne possédez pas d'IST, les deux peuvent être examinés. Vous êtes enceinte et vous voulez le risque d'éviter de transférer une IST à votre enfant. Une autre raison importante pour les tests de STI est la certitude de votre propre santé. Certaines MST sont une présence insidieuse. Si vous avez eu parfois des risques dans le passé, vous pouvez obtenir un test de MST et faire un test de dépistage du VIH. Lors d'un test de MST? Si vous avez eu des rapports sexuels non protégés ou que le préservatif est en panne, vous devez attendre au moins une semaine avec un test de MST . Après cette semaine, il est seulement judicieux d'être testé. Avez-vous des symptômes, aller chez un médecin. Un test de dépistage du VIH n'est que trois mois après avoir eu un sens sexuel non protégé. Il faut trois mois avant que des anticorps ne soient générés contre le VIH dans votre sang et votre médecin peut déterminer si vous êtes séropositif. Retrouvez toutes les infos sur l'agence en référencement naturel.
jeudi 12 octobre 2017
Le sentiment anti-français
Au regard des profils des "terroristes" qui ont frappé la France au cours de ces dernières années, il apparaît qu'un critère récurrent serait une origine d'Afrique du Nord, et plus spécifiquement des anciennes colonies ou protectorats français. Que révèle ce fait sur l'analyse des causes du terrorisme en France ? Et quelles sont les "causes " que cet élément permet de minorer ? Claude Robert : Il est difficile de tirer des conclusions universelles mais le fait est que l’analyse du profil de l’ensemble des terroristes qui ont frappé sur le sol français depuis l’affaire Merah montre qu’il y a une conjonction de plusieurs raisons au passage à l’acte. Parmi celles-ci, l’origine d’Afrique du Nord, principalement Maghreb, à l’exception du Mali. Comme le profil de ces terroristes est typique, stéréotypé, il est évident que nous avons affaire à un phénomène multi-causal. Et l’origine géographique semble de toute évidence faire partie des dimensions importantes. Etant consultant international, et pour avoir travaillé dans plus d’une vingtaine de pays (dont plus de la moitié en Afrique), je suis frappé de la vitesse à laquelle, juste en arrivant dans une "ancienne colonie" ou un "ancien protectorat", le comportement des gens à l’endroit des Français trahit instantanément la qualité de l’historique qui les lie à l’hexagone. A la réaction des gens dans la vie quotidienne, très vite, il est facile de déterminer si cet historique a été "digéré", accepté, s’il est considéré comme positif, s’il est encore mêlé de ressentiment, ou carrément s’il est vécu sur le mode amour/haine. Car il existe bel et bien un contentieux avec certains pays, et l’origine très localisée des terroristes n’est vraiment pas surprenante. Mais ce n’est bien évidemment pas le seul critère, car ce processus de passage à l’acte semble très complexe, hélas… Pierre Vermeren : J'ajouterai une autre caractéristique : la quasi-totalité d'entre eux ont pratiqué d'une manière ou d'une autre la délinquance. Et dernière caractéristique : ils sont très souvent issus de milieux très défavorisés et en situation sociale périlleuse. On est très loin des ingénieurs qui ont préparé et réalisé le 11 septembre, qui étaient des Égyptiens ou des Saoudiens de milieux familiaux plutôt aisés et de milieux culturels plus élevés. C'est un profil radicalement inverse. Ce sont des enfants d'immigrés de 2e ou 3e génération, très pauvres… qu'il ne faut pas confondre avec les recruteurs. C'est une erreur assez commune. Avec de tels profils, de personnes ignorant l'islam voire ignorant la culture arabe et qui n'ont la plupart aucun accès à la langue arabe à part quelques bribes d'arabe dialectal, on peut constater la fausse route empruntée par l'idée de la déradicalisation. Car il y a ignorance de la religion mais en revanche une manipulation par de bons connaisseurs – gourous ou idéologies salafistes On confond ici la cause, qui est l'Islam politique révolutionnaire au Moyen-Orient et Maghreb, et ses dérives, avec le matériau humain qui est utilisé et manipulé et a une autre histoire, celle de la délinquance, de la pauvreté, de la drogue, celle des origines familiales, l'absence de culture etc. La question de l'origine des terroristes me semble être une fausse route. Les jeunes musulmans en France sont quasiment tous originaires du Maghreb (Algérie, Tunisie, Maroc). Cela reflète la population des banlieues en France. Il y a quelques exceptions avec Amedy Coulibaly qui est originaire du Mali. On trouvera peut-être un Comorien ou un Turc, mais la masse restera maghrébine dans des pays comme la France, la Belgique, l'Espagne ou les Pays-Bas où ils sont majoritaires. Et on voit d'ailleurs qu'en Angleterre, où l'immigration musulmane est majoritairement issue de l'Inde et du Pakistan, ce sont des personnes issues de ces pays qui passent à l'acte. Les gens qui construisent ces réseaux ou qui les manipulent agissent en opportunité. Ils savent très bien que ces jeunes en difficulté sociale, matérielle, facilement manipulables sont à disposition pour eux. Ils en font des bombes humaines ou autres.
vendredi 1 septembre 2017
L'essentiel est dans les sensations
Mes collègues et moi avons souvent du mal à nous comprendre. Force est en effet de constater qu'ils ne comprennent pas le moins du monde mes choix de vie. Ils me trouvent même un peu dingue quand ils voient à quel point je me passionne pour les expériences chargées en adrénaline. Ils me jugent immature en la matière. Mais je n'y peux rien et je ne compte pas m'assagir. Je reconnais que cette passion n'est pas très appréciée par mon banquier. Parce qu'elle coûte parfois très cher. Dernièrement, j'ai par exemple goûté aux joies d'un vol en avion de chasse à Reims, avec une séance de voltige à la clef. L'expérience était bien entendu prodigieuse, mais niveau budget, elle en a fait sourciller plus d'un. Pour autant, je n'ai aucun regret ; le plaisir que j'ai ressenti là-haut méritait amplement une telle somme ! En réalité, il s'agit d'un choix de vie, et mes choix seront par conséquent toujours un mystère pour mes collègues. Eux préfèrent en effet économiser des mois durant pour s'offrir un écran géant qui prend tout le mur de leur salon. Tandis que moi me contente de mon minuscule téléviseur. Car ce que je recherche, ce sont plutôt des souvenirs inoubliables. Dans un monde matérialiste au possible, cette légèreté peut évidemment paraître frivole. Mais si l'on est honnête avec soi-même, on finit par entrevoir que c'est au contraire fondamental. Pourquoi attachons-nous autant d'importance aux objets matériels ? Est-ce qu'un Iphone ou un téléviseur déterminent si une vie est bien remplie ? Qu'on me permette d'en douter. L'important, c'est bien davantage ce que l'on a en soi !
Alors oui, je préfère dépenser mon argent dans une expérience incroyable à vivre, plutôt que dans un truc qui ne me donne aucune sensation. Des goûts et des couleurs, n'est-ce pas, on ne discute pas.
Au passage, si vous êtes comme moi en quête de nouvelles expériences, je vous invite à goûter aux joies d'un vol en avion de chasse : il faut avoir l'estomac solide, mais c'est absolument magique ! Vous pouvez découvrir le détail de ce vol ici. En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste renommé de ce baptême en L-39 à Reims.
mardi 22 août 2017
L’Etat et la culture
Le secteur de la culture est globalement soumis aux règles de droit commun en matière de protection contre les risques de la vie. Cependant, compte tenu du caractère de précarité et de discontinuité propre à une partie de l'activité culturelle, certaines populations considérées comme fragiles ont bénéficié « historiquement » d'aménagements des dispositifs généraux qu'il n'est pas inutile de rappeler dans le cadre d'une réflexion sur l'impact de l’intervention publique sur la culture. On prendra ici comme exemples les artistesauteurs en ce qui concerne la protection maladie, maternité, invalidité et décès, et les intermittents du spectacle en ce qui concerne l'assurance-chômage. Les artistes auteurs (écrivains, auteurs-compositeurs de musique, plasticiens, auteurs d’oeuvres cinématographiques et audiovisuelles, photographes...) sont des travailleurs indépendants, statut qui, dans les conditions économiques qui sont celles de la création, signifie pour nombre d'entre eux une réelle précarité. Le régime d’assurance maladie, maternité, invalidité et décès spécifiquement applicable aux artistes-auteurs repose sur la base d'un rattachement au régime général de la sécurité sociale. Il a d'abord été créé pour les artistes graphistes et plasticiens par la loi du 26 décembre 1964, un organisme spécifique, la Maison des artistes, ayant alors été agréé par l’État pour en assurer la gestion. Il a été ensuite étendu à l’ensemble des artistes auteurs par la loi du 31 décembre 1975, avec l'agrément en 1977 d’une deuxième association, l’Agessa, pour la gestion des artistes auteurs autres que graphistes et plasticiens. Le rattachement au régime général de la sécurité passe par une assimilation, sur ce point, des artistes auteurs à des salariés, les taux des cotisations dues par les artistes auteurs étant d'ailleurs exactement ceux de la part salariale du régime général des salariés. Faute d'employeurs pour assumer la partie complémentaire des cotisations, les « diffuseurs » culturels ont été mis à contribution, à un taux égal aujourd'hui à 1,1 % des sommes qu'ils sont amenés à verser aux auteurs notamment sous forme de droits d'auteurs (ou, pour les diffuseurs d'art, 1,1 % sur les commissions ou sur 30 % de leur chiffre d'affaires lié aux ventes d'oeuvres d'art originales). Par diffuseurs, on entend les éditeurs, organes de presse, producteurs cinématographiques et audiovisuels, institutions culturelles publiques ou privées produisant ou diffusant des oeuvres... et, côte marché de l'art, les galeries et sociétés de ventes aux enchères ainsi que les antiquaires. Sans ce dispositif reposant sur une double assimilation des artistes auteurs à des salariés d'une part, et des diffuseurs à des employeurs, d'autre part, toute une population de créateurs se trouverait dans une situation de fragilité difficilement tenable : le taux de cotisation des artistes auteurs est en effet près de trois fois inférieur à celui qu'ils auraient à supporter pour se protéger en tant que travailleurs indépendants.
vendredi 23 juin 2017
Fiché S mais avec une kalash
L’assaillant, qui est décédé, a percuté un fourgon de gendarmes lundi en milieu d’après-midi près des Champs-Élysées. Des bonbonnes de gaz et des dispositifs de mise à feu ont été découverts dans son véhicule. Quatre membres de sa famille ont été placés en garde à vue. Quatre membres de la famille de l’islamiste radicalisé de 31 ans mort lundi dans un attentat raté qui n’a pas fait d’autre victime sur les Champs-Elysées ont été placés en garde à vue. Il s’agit de l’ex-épouse d’Adam D. ainsi que son frère et sa belle-soeur. Ils ont été interpellés lundi en fin d’après-midi lors des perquisitions au domicile de cette famille, au Plessis-Pâté, dans l’Essonne. Le père de l’assaillant a été à son tour «placé en garde à vue dans la soirée alors qu’ils se présentait au domicile», explique une source judiciaire à l’Agence France-Presse. La veille, et pour la seconde fois en moins de deux mois, les Champs-Élysées ont donc été le théâtre d’une attaque terroriste. Cette fois, le stratagème de la voiture piégée semble avoir été privilégié, mais l’attentat a tourné court. Un miracle au regard de l’arsenal guerrier que transportait l’assaillant. Vers 15 h 40, à deux pas du square Marigny, Adam D. a lancé sa voiture, une Renault Megane, sur un fourgon Iris, qui, transportant entre huit et dix hommes de la gendarmerie mobile, descendait l’avenue. La voiture s’est enflammée lors de la collision, sans faire de blessé parmi les militaires. Le conducteur, porteur de deux armes, a été extrait de l’habitacle calciné. Il a trouvé la mort dans des circonstances qui restent à déterminer. Son corps à moitié dénudé était à même le sol. Un fusil d’assaut de type kalachnikov ainsi qu’un pistolet semi-automatique autrichien, modèle Glock 26, ont été retrouvés à ses côtés.
vendredi 16 juin 2017
Stratosphérique
Comme beaucoup de gamins, j'ai longtemps rêvé de devenir pilote de chasse. Bien entendu, j'ai pris une voie différente. Comme la plupart des gens, je travaille dans un bureau. Néanmoins, je n'ai jamais cessé de regarder le ciel en rêvant d'une autre vie. Et dernièrement, j'ai concrétisé ce rêve l'espace d'un moment : j'ai expérimenté un vol en avion de chasse du côté de la Russie. J'ai clairement adoré ce que j'ai pu ressentir là-haut, et il est probable que je n'oublierai pas ce moment avant un moment : il faudrait être fou pour ne pas se souvenir de cet instant où l'on se retrouvre écrasé par la vitesse. Cependant, cela m'a sacrément fait réfléchir, et je me suis rendu compte qu'en fin de compte, je ne regrette pas le moins du monde de ne pas être devenu pilote de chasse. Bien sûr, j'ai adoré l'adrénaline, mais j'ai aussi compris que ce boulot n'était pas pour moi. Ce boulot-là fait en fin de compte partie de cette sorte de métiers qui font saliver les enfants mais nécessitent un fort engagement. C'est même déroutant, à vrai dire : les emplois qui captivent les enfants sont en fin de compte des métiers s'adressant à très peu de personnes. Infirmière, policier, militaire... Tous ces boulots sont bien plus que des métiers : ce sont d'une certaine manière des boulots destinés aux héros. Ceux qui les font ne se distinguent pas des autres, à première vue. Mais ils font tout de même ce que beaucoup de gens seraient incapables de faire. Qui a envie d'être au quotidien en contact avec la maladie, le chagrin et la misère du monde? Bien entendu, le métier de pilote de chasse peut sembler différent, mais il est aussi ardu. Voudriez-vous de mettre votre vie en jeu à chaque sortie ? Pas sûr. En général, les personnes convoitent un travail au calme plutôt que faire face à la mort au quotidien. Ce qui fascine tant les marmots, au final, c'est ce que nous ne voudrions surtout pas faire. Toujours est-il que je suis ravi d'avoir pu faire cette expérience. Je vous mets d'ailleurs en lien le site par lequel je suis passé pour ce vol là-bas. Ames sensibles s'abtenir !Pour plus d'informations, allez sur le site de ce de baptême de l'air en MiG29 et retrouvez toutes les infos.
mardi 23 mai 2017
Régénération créatrice
La question est donc évidemment celle de la création des nouveaux emplois avec des compétences nouvelles, et dès lors de la formation actualisée de tous ceux qui appartenaient à l’ancien monde, de manière à ce qu’il n’y ait pas, ou le moins possible, de laissés pour compte. Compte tenu de la transformation que nous vivons et que nous ne pouvons éviter, nous n’avons pas le choix. La déstructuration de l’Ancien Monde est un fait et être dans le déni n’y change rien si ce n’est d’aggraver le problème. Le blocage persistant sur l’économie du Nouveau Monde conduit précisément à renforcer un chômage persistant et croissant. Ainsi, si l’emploi dans les marchés de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables a fortement augmenté entre 2006 et 2009 (+9,4 % il a fortement ralenti entre 2009 et 2012 (+2,9 %). De manière quasiment unique dans le monde, l’emploi dans les activités de développement des énergies renouvelables a baissé de 22 % entre 2010 et 2012 pour se retrouver en 2012 un niveau légèrement inférieur à celui de 2009. 14 000 emplois ont été perdus dans le photovoltaïque (en attendant de voir le sort honteux que fera EDF de sa filiale Nexcis), du fait de l’arrêt de la filière. Pourtant, de nombreux projets ont été montés en 2011 et 2012 mais la systématisation des appels d’offres a favorisé la course à la taille, l’approche sur le seul critère de la rentabilité des projets. Privilégier ce critère au détriment des objectifs d’emplois et d’activités a eu pour effet de favoriser les grands investisseurs étrangers acteurs de 40 % du marché en 2012. (Voir note Arnaud Berger en annexe). Aujourd’hui, c’est l’immobilier, dans la transition énergétique qui est le secteur le plus dynamique en termes d’offres d’emplois en France ce qui explique l’orientation de la loi sur la transition énergétique. Mais cela ne suffira évidemment pas. Réfléchir sur la place de l’emploi dans la société Ces mutations profondes renvoient donc à la place de l’emploi dans la société, le travail autre que salarié se développe y compris dans des formes non financiarisées (bénévolat, accompagnement de personnes âgées, éducation des enfants etc ) Le temps disponible grâce aux progrès technologiques alors qu’il pourrait être une source de satisfaction est considéré comme un défaut à combattre (chômage parce que la société n’a pas pris le temps d’adapter son organisation). Autant que la question du chômage, c’est donc la question de la place des individus dans la société qui est posée quelles que soient les formes d’activités, la question de dissocier emploi et non-activité se pose. De nouveaux systèmes de société et de protection sociale doivent voir le jour mais cela dépasse le cadre du présent rapport... Quoiqu’il en soit, la crainte de voir disparaître des emplois - ce qui est inéluctable pour les activités de l’ancien Monde - conduit à investir dans le maintien de l’emploi existant au détriment de l’investissement dans les nouveaux secteurs, nouveaux marchés, nouvelles entreprises qui paraissent plus fragiles et plus aléatoires mais qui sur le long terme sont beaucoup plus sûrs et pérennes.
mardi 2 mai 2017
Baptême de tête à l'envers
Vendredi dernier, j'ai effectué volcanique : celui de voltige aérienne. Un truc que je rêvais de vivre depuis quelques années, mais que je repoussais tout le temps à plus tardJusqu'ici. L'expérience a eu lieu à l'aéroclub, en compagnie d'un pilote spécialiste de voltige, Jonas. Celui-ci m'a tout d'abord montré notre avion (un petit avion bi-place ultra-léger), avant de me faire passer le parachute, tel. Puis on a décollé pour vingt minutes de démence dans les hauteurs. J'ai senti mes organes changer de place entre boucles, vrilles et autres retournementsIl me semble avoir dit quelques obscénités au passage. Mais qu'importe, mon pilote était probablement habitué. Vers la fin, j'ai commencé à me sentir vraiment patraque, et Jonas a voulu ralentir le rythme. Mais mon estomac a déclaré forfait et j'ai dû utiliser petit sac à vomi qu'on m'avait charitablement proposé en début de vol. Je retiendrai la leçon, si je recommence un jour : je n'aurais pas dû prétendre que j'allais bien alors que j'avais remontées gastriques. L'usage du sac est loin d'être indissociable de l'expérience, comme on pourrait l'imaginer. Jonas adapte son vol en fonction de son passager pour que ce dernier ressorte en forme. Comme il me l'a dit lui-même un peu après: le but n'est pas tant de terroriser les gens lors de l'expérience, mais plutôt de leur faire ressentir le bonheur de la voltige. Le but n'est en aucun cas de retourner la tête. Cela dit, cet aléa reste accessoire et ne m'a pas gâché le vol. Lors des figures, nous sommes passés de -3,5G à 5,3G. Concrètement, cela veut dire que dans certaines figures, nous pesions 5,3 fois notre poids normal ! Je vous laisse deviner les impressions que cela procure. Le plus dur, c'est finalement quand on est en G négatifs : c'est là qu'on devient clairement patraque. A pleine vitesse, ce que vous avez mangé avant le décollage reste à sa place. Alors qu'en micro-gravité, il a curieusement tendance à vouloir découvrir le monde. Vers la fin, Greg est allé jusqu'à me donner le manche à balai pour un court instant. J'ai même pu exécuter un virage serré avant qu'on ne doive finalement retourner à l'aéroclub ! Je peux vous assurer que ce feu d'artifice de sensations fortes un temps fou à se calmer que quelques heures après avoir regagné la terre ferme. Si vous n'avez jamais tenté, je vous invite vivement à vous lancer. Ca vaut vraiment le coup de tenter ces choses-là que l’on n’a pas réaliser. Une chose est sûre, si on m'en offrait un autre, je ne dirais pas non (vous avez noté le message subliminal ?) ! Mais à jeûn, cette fois. Je vous mets le lien vers le site de mon vol de voltige aérienne. Ames sensibles s'abstenir !.Plus d'information est disponible sur le site de l'agence qui a organisé ce baptême de voltige aérienne à Nancy. Suivez le lien.
mardi 18 avril 2017
Penelope Fillon attendue par les juges
Les cameramen l’ont attendue toute la journée de lundi aux abords du pôle financier en pensant que comme pour son mari, Penelope Fillon demanderait à devancer la convocation des juges afin d’éviter le charivari médiatique. Après François Fillon et Marc Joulaud, tous deux mis en examen, c’est donc le tour de Penelope Fillon d’affronter cette audition par les juges Tournaire, Buresi et Tacheau. Ce qui devrait déboucher sur la même procédure. Depuis deux mois, maintenant, presque jour pour jour, la femme discrète du candidat à la présidence de la République affronte le feu nourri de la justice et des médias. Elle doit répondre de l’accusation d’emplois fictifs, à la fois à l’Assemblée nationale en tant qu’attachée parlementaire et à La Revue des deux mondes, où elle n’a pas semblé la bienvenue auprès de l’équipe alors en place. Entre 1986 à 2013 – avec des coupures – l’épouse de François Fillon, qui semblait éloignée de la vie politique, a perçu 680.380 euros net, soit environ 3600 euros mensuels en moyenne, comme assistante de son époux ou de son ex-suppléant Marc Joulaud, également mis en examen vendredi pour détournement de fonds publics. Penelope Fillon a aussi été rémunérée à La Revue des deux Mondes entre mai 2012 et décembre 2013, pour un salaire de 5000 euros brut, qu’elle a cumulé avec son emploi d’assistante à partir de juillet 2012, lorsque l’ex-premier ministre est redevenu député. La semaine dernière l’enquête du Parquet national financier a été élargie aux chefs d’escroquerie, faux et usage de faux concernant des déclarations d’heures travaillées qui ne correspondraient pas aux règles comptables en vigueur au moment des faits. Son avocat Pierre Cornut-Gentille a promis qu’elle s’en expliquerait devant les juges.
mercredi 15 mars 2017
Prendre une assurance voyage
Lors de la réservation d'un voyage à l'étranger, un agent de voyage sera généralement vous encourager à acheter une assurance voyage. Selon votre idée préconçue sur l'assurance voyage, vous pourriez penser deux choses différentes. Vous pouvez considérer cela comme une nécessité ou une dépense inutile. Alors, qui est-ce? Trop de voyageurs pensent que "rien de mal ne se produira", mais encore une fois, n'importe qui peut souffrir d'une crise cardiaque partout dans le monde. Sons hautement improbable? Considérez cela alors. En 2004, le tsunami a frappé une destination populaire de plage en Thaïlande. Petra Nemcova, une supermodèle, a à peine survécu. Son petit ami a été tué avec des centaines de touristes et de gens du pays. Le tsunami a également tué des milliers de personnes dans d'autres parties de l'Asie. Les catastrophes naturelles peuvent se produire quand vous vous y attendez le moins. Et quand vous combinez cela avec les risques pour la santé, la possibilité de vols annulés, et les problèmes d'immigration internationale, le coût de l'assurance voyage littéralement ressemble à penny par rapport à ce que vous allez dépenser autrement. "La prévention est mieux que guérir", le dicton est applicable dans ce cas, car vous ne voulez certainement pas passer vos économies de vie pour quelque chose qui aurait pu facilement être couverts par une compagnie d'assurance voyage. Si vous regardez l'expérience de Nemcova en Thaïlande, que pouvez-vous faire dans ce cas? Si vous avez été blessé dans ce cas, le coût d'obtenir une ambulance aérienne peut aller plus de 25 000 $. Pouvez-vous payer pour cela? Assurance voyage peut signifier la différence entre obtenir des soins médicaux appropriés et aller à la charité. Les frais médicaux d'urgence couvrent les soins médicaux d'urgence en cas de maladie ou de blessure pendant le voyage. Les politiques sont généralement accompagnées d'une évacuation médicale d'urgence qui fournit une couverture d'évacuation d'urgence, si nécessaire, à l'établissement médical qualifié le plus proche. Frais médicaux d'urgence sont couverts jusqu'à 100 000 et jusqu'à un million pour l'évacuation dans les politiques globales. L'assurance voyage vaut-elle le coût? Basé sur les scénarios ci-dessus, l'assurance voyage est une nécessité. C'est un coût certainement vaut le coût quand vous considérez l'alternative. Toutefois, n'oubliez pas que vous devez obtenir le type d'assurance voyage qui couvre toutes les urgences majeures pour tirer le meilleur parti de celui-ci.
lundi 30 janvier 2017
Do it yourself : le parfum
Voilà une expérience que je ne me serais pas imaginé faire un jour. Il y a quelques jours, au cours d'un atelier de parfum à Paris, j'ai en effet composé mon propre parfum. C'est ma femme qui m'avait offert cette activité il y a quelques mois, et, franchement, je n'en voyais pas trop l'intérêt : j'ai d'ailleurs failli laisser passer la date limite de validité du bon. Mais bon, finalement, et un peu pour que ma femme arrête de me demander quand j'allais le faire, j'y suis allé. Et franchement, je ne regrette pas. Je serais passé à côté d'une excellente expérience ! Le plus dur, c'est de s'y rendre. Parce que quand on est lancé, on s'amuse comme un gosse, à essayer de concevoir goutte à goutte le parfum idéal. En fait, on stresse même à l'idée de ne pas obtenir le bon résultat avant la fin du cours ! L'atelier ressemble à un petit laboratoire expérimental (en un peu plus coquet tout de même). Chaque apprenti-parfumeur se voit assigner un orgue à parfums doté de plus de 120 fioles d'essences, de fragrances acidulées, fleuries, orientales, étranges… Concrètement, on compose le parfum d'après la pyramide olfactive. En premier la note de fond, la plus forte, qui sert de base au parfum : elle peut rester plusieurs jours après application. Ensuite la note de cœur, qui détermine le thème du parfum : elle dure moins longtemps mais prépare l'arrivée de la note de fond. Et pour finir la note de tête, celle que l’on perçoit en premier dans un parfum, et qui définit sa fraîcheur. On est libre de choisir chaque fragrance qu'on veut incorporer à sa réalisation, mais on est chaperonné tout du long par un maître-parfumeur, qui nous indique les bons ou mauvais mariages entre différents accords. Ce qui est le plus dur, c'est de ne pas être trop cérébral, de se fier à son instinct, à ses sens. Il faut savoir ne pas trop réfléchir, sans quoi on est vite dérouté. Au terme de cet atelier de création de parfum à Paris, on repart avec son propre parfum, une création dont on est le seul à connaître la formule. Et ça, c'est plutôt classe.
mercredi 11 janvier 2017
Le tabac entraine la démence
Fumer augmente considérablement le risque de développer une forme de démence ou la maladie d'Alzheimer et plus un individu fume, plus le risque de perdre la raison à un âge avancé est grand. Telles sont les conclusions des chercheurs de l'organisation médicale privée Kaiser Permanente ( USA ). Les spécialistes ont analysé le dossier médical de plus de 20 000 hommes et femmes suivis en Californie du Nord entre 1978 et 1985. A cette époque, ces personnes avaient entre 50 et 60 ans. Puis les chercheurs ont regardé chez qui les médecins avaient diagnostiqué une démence entre 1994 et 2008. Les chercheurs ont ainsi établi un lien direct entre le nombre de cigarettes fumées et le risque de développer une forme de démence. La consommation de plus de deux paquets par jour augmentait les chances de provoquer la maladie d'Alzheimer de 157 %, pour la démence vasculaire cet indice est encore plus élevé: 172 %. Ceux qui fumaient entre 10 et 20 cigarettes par jour avaient 37 % de chances de souffrir de démence, et ceux qui fumaient entre 20 et 40 cigarettes 44 % de plus que les non-fumeurs. Les experts indiquent que le lien entre le tabac et les différentes formes de démence est flagrant, mais ils ignorent encore quel est exactement le mécanisme biologique de son apparition. On sait du moins que la consommation de tabac affecte les vaisseaux sanguins, y compris dans le cerveau, ce qui entraîne une mauvaise irrigation sanguine et une hypertonie. L'impact du tabac sur le cerveau pourrait être encore plus grave étant donné que de nombreux fumeurs n'atteignent pas l'âge où la démence se manifeste le plus souvent.
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